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29 janvier 2013 2 29 /01 /janvier /2013 20:00

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17:30 sonnait, dans la classe de seconde F du lycée Joseph Loth de Pontivy, tout le monde rangeait ses affaires précipitamment sauf quelques personnes qui prennaient leur temps. Les dernières à sortir étaient comme d'habitude Margaux accompagnée d' Inès. Elles descendaient les escaliers pour rejoindre la sortie car leur cours de français se trouvait au deuxième étage. Elles passèrent ensuite par leurs casiers pour récupérer leurs affaires puis elle se dirigèrent vers la sortie pour aller prendre leurs bus. Margaux était arrivée au lycée Joseph Loth en septembre, elle ne connaissait personne de la région. Elle avait emménagé à Moréac le 17 juillet 2012. Elle avait quitté Perpignan car son père avait été muté. Margaux que l'on pourrait croire timide en apparence avec ses long cheveux noirs et ses petits yeux verts aimait parler, tout le temps et à tout le monde ce qui ne lui avait posé aucun souci d'intégration. Dès les premiers jours elle s'était fait des amies. Même si le soleil, ses amies lui manquaient elle se disait qu'il fallait aller de l'avant sans penser au passé.


Margaux et Inés étaient contentes, il ne leur restait plus que 3 semaines d'école et après c'était enfin les grandes vacances. Sur le petit chemin qui longeait le lycée pour rejoindre la route elles rencontrèrent Cindy dans le milieu du chemin. Cindy c'était une petite brune à lunettes un peu timide. C'était une de leur amie mais elles n'étaient pas dans la même classe. Elles parlèrent donc de leur journée avec elle. Les filles dirent au revoir à Cindy en haut de la rue Napoléon Ier car Cindy prenait son bus à la Plaine.

Margaux et Inès traversèrent la rue Napoléon Ier et descendirent la rue du Caire pour rejoindre leurs bus. Dans la rue du Caire, il y avait toujours beaucoup de monde elles allaient donc sur le trottoir d'en face pour descendre plus vite et éviter de se faire bousculer. Au milieu de la rue du Caire, Inés après avoir dit au revoir à Margaux alla rejoindre son bus. Quant à Margaux elle descendit tout en bas de la rue du Caire.


Quand Margaux fut en bas, elle pris son MP4 et commença à écouter de la musique à côté d'un jeune garçon un peu étrange, il avait l'air jeune, elle pensa donc qu'il se trouvait au collège " les Saints Anges ". Quelques minutes plus tard elle vit Léa, elle rangea donc son baladeur et alla à sa rencontre. Léa et Margaux se connaissaient depuis la rentrée, elles n'étaient pas dans le même lycée, mais elles prenaient le même car, et elles habitaient dans la même ville. Elles s'appréciaient beaucoup. Elles rejoignirent les autres filles qui attendaient le même bus qu'elles. Elles avaient le temps il leur restait encore 10 minutes avant que le bus arrive. Elles bavardèrent donc ensemble. Quand le bus arriva, tout le monde se précipita en se bousculant pour y rentrer. Margaux et Léa attendirent tranquillement tout en cherchant leur carte de car dans le fond de leur sac. Une fois qu'il n'y avait plus la foule devant la porte du bus elles rentrèrent. 



http://img4.hostingpics.net/pics/7774415i22vklu.jpg A l'instant où Margaux grimpa dans le bus, elle ressentit comme une drôle de sensation, comme un courant d'air glacial, comme si le monde avait perdu le peu de chaleur auquel on avait droit en ce mois de juin et malgré la chaleur étouffante qui se trouvait dans le bus. Elle en ressentait d'horrible frisson qui lui parcourait tout le long du dos. Mais elle continua de marcher en essayant de chasser ce sentiment et cette sensation de son esprit puis s'assit à coté de Léa. Dans le bus elle ne dit pas un mot, elle était trop préoccupée a se demander ce qu'il se passait. A son arrivée chez elle, elle monta dans sa chambre, et cette horrible sensation revient en apercevant un reflet dans le miroir à droite de sa commode, pour être sur de ce qu'elle pensait voir, elle se rapprocha de son miroir.

Elle aperçut, juste derrière elle, une ombre, une sorte de spectre qui l'a fit hurler de peur ! C'était une sorte de dame habillée de blanc, au teint gris pâle comme un matin d'hiver, et les yeux si profond, si noir, que de les regarder en donnait la chair de poule. Margaux, toute tremblante se décida à aller prendre une douche, elle se posait des centaines de questions, elle se demandait ce qui se passait, c'était impossible, son esprit devait lui jouer des tours, un esprit... ça n'existe pas ! Et pourtant elle avait cette horrible impression qu'elle n'avait pas rêver cette présence était bien là, tout près d'elle. Le soir, au dîner elle n'a rien avalée, elle était très pensive, elle pensait qu'elle devenait folle. Elle alla regarder après le repas la télévision avec ses parents, ce qui l'a détendit, elle ne pensait plus à ce qui c'était passé auparavant. Elle commençait à se sentir fatiguée, elle décida donc de monter se coucher. Elle se leva du canapé, pris le verre d'eau qui se trouvait sur la table du salon pour l’amener à la cuisine. Tout à coup elle ressentit cette sensation, se courant d'air qui passait dans son dos, comme si quelqu'un était présent, tout près d'elle … Tellement troublée elle en fit tomber son verre par terre...
Sa mère vit son visage effrayé, elle lui demanda donc ce qui se passait, Léa lui à simplement répondu qu'elle se sentait fatiguée, qu'elle avait eu une dure journée. Elle ramassa donc tous les morceaux de verres, elle était tellement tremblante, qu'elle se coupa mais elle n'en dit pas un mot. Elle alla ensuite souhaiter bonne nuit à ses parents et monta les escaliers d'un pas hésitant, elle avait peur de revoir cette « chose » dans son miroir.
Elle arriva devant la porte de sa chambre, et entra d'un pas hésitant. Elle se mit en pyjama et passa devant ce miroir, elle y jeta en œil, elle ne vit rien mais dès qu'elle fut passer devant, elle ressentit ce courant d'air... Elle s'obligeait à penser que c'était simplement des idées qu'elle se fesait, ça ne pouvait pas réellement se passer, elle espérait tout simplement se réveiller, sortir enfin de ce cauchemar...
Pendant la nuit, elle fit cauchemar sur cauchemar,dès qu'elle fermait les yeux elle voyait cette femme. Elle se réveillait sans cesse toute en sueur, elle se sentait oppressée dans sa chambre, comme si la pièce manquait d'air. Malgré cette sensation de chaleur avec le manque d'air, elle tremblait comme si elle se trouvait dehors lors d'un hiver glacial... Il était 4heure du matin et elle se réveilla pour la énième fois. Elle avait réellement du mal à prendre sa respiration, elle décida alors de sortir de sa chambre pour aller chercher un verre d'eau en bas.
Elle alluma sa lampe de chevet, et descendit. Quand elle remonta elle trouva la température de sa chambre glacial,elle passa devant son miroir, pour rejoindre sont lit. En passant devant le miroir elle en eu la respiration coupée, cette femme dans cette robe blanche, les yeux noirs, le teint grisâtre se trouvait devant ses yeux. Elle en tomba raide sur le sol les yeux grand ouverts.
Le lendemain quand sa mère arriva elle trouva Margaux sur le sol, inconsciente dans une chemise de nuit blanche, qu'elle n'avait auparavant jamais vue, sa fille avait le teint gris, ses yeux étaient d'un noir profond... Cette vision de sa fille la fit pousser un cri strident.

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28 janvier 2013 1 28 /01 /janvier /2013 18:40

 

       En ce matin de mercredi d'octobre à 7h36, Jason grand garçon de 1m81, au cheveux brun et aux yeux marrons, enlevait ses écouteurs de ses oreilles et rangeait son portable dans sa poche, pour s'apprêter à quitter son car qui arriva à la rue du Caire. Curieusement il n'y avait pas de bousculade ce matin !

Une fois sortie, il était accompagné d'un collégien de sa classe de l'an passé, ils parlèrent de leur matinée et de ce qu'ils avaient fait hier soir, mais Jason rejoignit son meilleur ami (depuis 5 ans) qui l'attendait (casque aux oreilles) près des escaliers. Ensemble Jason et Benoît allèrent rejoindre la bande de copains près du Boulevard, car Jason reçu un message sur son portable disant que " Nous vous attendons au Boulevard ". Cependant, Benoît raconte qu'il a enfin réussi a conquérir Coralie, il était ravi pour son ami ( car il tournait autour d'elle depuis 2 mois) .

  

 

       Le chemin enprunté était rès boueux car il a énormément plue cette nuit, ce qui l'agaçait dès le matin ! Une fois après avoir enfin rejoint leur bande, Jason était très content car il voyait enfin sa cousine qu'il n'avait pas vu depuis 2 semaines, elle était pourtant au lycée de Jeanne d'Arc de Saint-Ivy, elle était tres jolie ( comme d'habitude ) ils s'éloignèrent pour parler de la fête prévue chez sa cousine pour l'anniversaire de sa soeur qui allait savourer ses 18 ans. Mais elle se dépêcha de s'en aller car elle devait arriver en cours à l'heure. Puis Jason et sa bande s'en allaient en direction du lycée pour emprunter une fois de plus un chemin très boueux avec un nombre incalculable de flaques d'eau énormes en direction du pont.

Sur le chemin il saluait tous les gens qu'il connaissait et principalement ceux de son club de football.

 

    Il restait environ 8 minutes avant de commencer les cours, Jason avait également une fille qui lui faisait tant rêver à longueur de journée, il allait en direction de la salle A109 pour aller en cours de mathématiques. Jason et ses copains espéraient que leur professeur allait leur rendre les contrôles du lundi sur " les vecteurs ". Arrivé devant la salle avec les quelques minutes restantes Jason posait son sac sur le sol près de la porte, quand il remarqua au loin la fille dont il rêve près de la salle A105, mais hélas elle ne venait pas en sa direction. Il lui envoya un message par son portable , ( en lui disant qu'il était décu tu es pas venu me voir ). Ainsi la sonnerie retentit en vain dans l'etablissement, et entrant dans la salle Jason et Jordan ( un ami un peu fou, toujours à faire le pitre ) s'écrièrent " Et c'est partie pour une matinée scientifique !!!! " 

Et oui la matinée de Jason n'était pas de tout repos car après les maths venait : Une heure et demie d'S.V.T puis une heure et demie de sciences physiques !

 

 

Cadre Fantastique : "2ème partie"

 

 

Le cours de maths se passa très bien comme d'habitude, Jason était content car il a eu sa deuxième notes au dessus de la moyenne depuis le début de l'année ! Ensuite il descendèrent aux salles de sciences pour aller au cours de S.V.T, mais ce cours la était particulié pour Jason, il vit a travers la fenêtre un homme de grande taille habillé tout en noir situé un peu plus loin, Pendant quinze minutes cet homme resta fixé Jason.

En rentrant chezlui, il se posa énormément de questions ! Qui était cet homme ? Pourquoi le fixait-il ? Et que lui veut t-il ? le mystère resta total !

Le lendemain, en sortant du car pour rentrer chez lui, Jason resta discuté avec Arthur ( un ami depuis la primaire) puis au moment de s'en aller Jason sentait quelque chose de très bizarre ! Une petite brise de vent s'abbatait d'un seul coup, et une épaisse couche de brouillard prenait place. Et en marchant il s'arrêta d'un seul coup en bondissant sur lui meme, Jason vit à nouveau au loin dans ce brouillard inquiètant, l'homme noir qu'il aperçu hier matin. Jason accélera son rythme de marche, puis ce mit à courrir et stoppa sa course cent mètres plus loin. Et la une fois de plus il voit cet homme debout levant la main en regardant Jason. Il prena sur lui et marcha doucement complètement paniqué, et lorsqu'il pénètre chez lui il poussa un long soupir de soulagement, il posa son sac et s'allongea sur le canapé complétement deboussolé et paniqué.

 

Depuis quelques jours ces amis et ces parents voyaient que quelque chose n'allait pas bien chez Jason, mais personne ne savait ce qui le tracassait à ce point. Un mardi matin Jason était dans un état horrible il n'a pas dormi depuis deux jours, mange plus beaucoup et ne décroche plus un mot ! Sa mère l'enmena chez le médecin et il lui prescriva deux prendre un médicament matin , midi et soir ! Malgré cela Jason ne senta pas mieux, la nuit meme, Il sentit un frisson lui éfleurant la peau , un énorme sentiment de peur envahissait son corps.

Il vit la porte de sa chambre s'ouvrir, et la Jason poussa un cri énorme " Vas tant ! Laisse moi tranquille !! " La lumière s'alluma et c'était simplement son père qui venait chercher un dossier. Ces parents décidèrent de le placer dans un hôpital psychatrique quelqueqs temps a fin que Jason puisse reprendre ces esprits.

3 semaines passèrent et en sortant de l'hôpital il aperçu sous un arbre plus loin une fois de plus cet homme vêtu de noir.

 

COMMENTAIRE : si le récit en lui-même ne manque pas d'intérêt, l'usage maladroit des temps verbaux (et particulièrement du passé simple, que tu maîtrises mal, manifestement) nuit à l'ensemble (plus quelques autres fautes qu'on souhaiterait ne plus voir dans un sujet d'écriture de Seconde ...). L'expression de la peur est présente, mais celle du doute beaucoup moins. Bref, on ne peut pas dire que, dand l'ensemble, cela soit réussi !... 

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28 janvier 2013 1 28 /01 /janvier /2013 17:22

                                                   

Il était 17H20 et la sonnerie du lycée retentit .C’est alors content que Mickael  se dépêcha de ranger ses affaires pour quitter au plus vite le lycée car en effet c’était depuis le début de la journée qu’il   attendait ce moment-là avec impatience. Mickael  était un jeune homme de 15 ans qui passait son temps avec ses amis, à parler sur les réseaux sociaux, ne se préoccupant pas de ses études. Malgré  les conseils que ses parents lui donnaient pour son avenir Mickael n’y prêtait pas attention. C’est  alors tout joyeux qu’il prit son sac et sortit de sa poche son téléphone pour demander où se trouvaient ses amis.

 

Pour rejoindre la rue du Caire Mickael  devait passer par un petit chemin longeant le lycée. En traversant le petit chemin Mickael était avec ses amis et leur parlait toute en contemplant les diverses personnes qui l’empruntaient. Il était enfin arrivé au bout du chemin et dit au revoir a ses quelques amis qui descendirent vers la plaine. Il traversa le passage piéton en même temps qu’il regardait les personnes qui descendaient du Boulevard. Il disait encore en revoir aux autres amis qui l’accompagnaient.

 

 

Il longea la rue du Caire tout en essayant de reconnaitre son car. Fatigué par cette terrible journée il décida de s’arrêter et d’attendre son car. Il posa son sac par terre et s’assit à côté. Tout en attendant le car il se mit à regarder autour de lui les groupes d’amis, les couples et se mit à penser. Alors qu’il était dans ses pensée il entendit une voix résonnante l’appeler mais il n’y prêta pas tout de suite attention c’est seulement après quelques secondes que Mickael  comprit que c’était pour lui. A ce moment-là il se mit debout et rejoignit la personne qui l’appelait dans le car.

 

 

 

Seconde partie:

 

Une fois monter dans le car, Mickaël s’essaya a sa place habituelle, au côté de la même personne. Il tentait de se réchauffer les mains qui par se froid d'hiver étaient gelées . Alors qu'ils partaient, et que la nuit tombait, Mickaël qui avait passé une dure journée s'assoupit, la tête contre la fenêtre pleine de buée tout en écoutant sa musique.

Tout a coup le jeune homme sursauta a cause d'un coup de frein que le chauffeur donna.Surprit et désorienté Mickaël se redressait et regardait la route pour voir se qu'il se passait. Il ne voit rien, donc il décide de se remettre contre la vitre comme s'il ne c'était rien passé. Alors qu'il repartait dans son sommeil Mickaël entendit une voix étrange qui le fit frissonné l'appeler, cette voix était horriblement aiguë alors il ouvre les yeux et enlève ses écouteurs.Il vit la personne qui était a coté de lui qui ne bougeait plus, son visage était totalement fermé, pâle et froid. Mickaël regardait son voisin avec des écarquillés, il pensait qu'il était mort, alors il décida de le touché et sentit un pou. Malgré sa Mickaël était effrayé et choqué le jeune homme poussait un cri. Mickaël se demandait se qu'il se passait, apeuré il se retourna et demanda a la personne de derrière se qu'il y avait, mais la elle ne répondait, et ne bougeait pas elle était exactement comme le jeune homme qui se trouvait a coter de lui. Il n'en croyait pas ses yeux. C'était comme si tout le monde était figées.A ce moment précis Mickaël se dit qu'il devait rêver alors il décida de se pincer pour en être certain, mais rien n'y faisait il y avait toujours aucunes personne qui ne bougeait. Il remarquait cependant que le chauffeur était toujours là sur son siège et que le car continuait de roulé. Alors Mickaël se leva et tapa sur l'épaule du chauffeur mais lui non plus ne répondait pas il était comme obnubilé. A se moment précis Mickaël se sentait seul. Il était complètement effrayé par se qui lui arrivait il n'y croyait pas.Il se mit a regardé par le fenêtre et vit les routes totalement déserte.

 

Il se mit les mains sur le visages et ferma les yeux quelques instant, il espérait qu'au fond de lui que lorsqu’il ouvrirait les yeux a nouveau il verrait que tout et comme avant. Il ouvrit les yeux, mais malheureusement rien avait changé. Mickaël était désespéré, il se disait qu'il était peut-être dans un autre monde ou bien qu'il était mort il n'en savait rien. Il aimerait tellement avoir des réponses sur se qu'il se passe. Il se dit a se moment précis que rien ne pourra changé et qu'il restera toujours tout seul et terrifié. Mais tout a coup il entendit la même voix effrayante qui la appelé la première fois, ouvrit les yeux et vit que tout le monde était belle et bien vivant. La personne qui était a coter de lui vit Mickaël tremblant de peur, elle lui demandait alors se qu'il y avait mais Mickaël lui répondait qu'il n'y avait rien. Il ne comprit pas ce qui lui était arrivé, il souriait bêtement, mais il était tellement heureux que tout redevienne comme avant qu'il ne chercha pas les réponses a ses questions et au fond de lui Mickaël ne voulait pas savoir se qu'il venait de se passé de peur de se qu'il pourait bien découvrir.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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27 janvier 2013 7 27 /01 /janvier /2013 23:54

 

 

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Se sentir figurante dans sa propre vie, voilà ce que ressent Marla, une adolescente qui ne fonde plus aucun espoir en la vie car celle ci ne lui a jamais souri. Il faut dire que la vie n'a jamais été facile pour elle , elle a perdu sa mère alors qu'elle avait tout juste 2 mois et son père  est devenu alcoolique suite à ce décès . Elle a donc passé son enfance de foyer en foyer. Malgré cette enfance plus que calamiteuse Marla a réussi à l’école , elle est en 1 ère avec un an d'avance , mais son problème n'est pas , son problème est la solitude . Cette situation qui dure depuis toujours la détruit de jours en jours .Elle n'est pourtant pas la seule à être dans cette situation mais cela est encore plus dur pour elle qui est orpheline de mère et qui ne vit pas avec son père . Elle sait bien que des amis pourraient condamner cette solitude mais a quoi bon la vaincre si l'espoir la déjà quittée.

 

       C'est une journée normale qui commence pour Marla , il est 7 h 30 son car vient de la déposer à la rue du caire à Pontivy, il lui reste donc 30 minutes à attendre avant que les cours ne commencent . Elle longe la rue, écouteurs sur les oreilles . Ce moment  éphémère est toujours apaisant car lorsqu'elle écoute de la musique, elle ne se concentre sur rien d'autre, ne se préoccupe pas des misères que la vie a pu lui faire. Sur cette route c'est toujours le même rituel , un ballet incessant entre les cars et les étudiants . Elle y reconnaît comme chaque matin deux amis qui discutent le long du mur , un groupe de jeunes qui se mettent au milieu du trottoir pour déranger tout le monde , un groupe de fumeur au bout de la rue … Une fois passée la rue du caire il lui faut traverser l'avenue napoléon 1 er puis prendre le chemin des écoliers.C'est comme d’habitude embêtant à le traverser surtout lorsqu'il a plu car le chemin est plein de boue . Elle est arrivée devant le lycée à 7H40.

 

       Elle décida de ne pas rentrer directement dans le lycée . A quoi bon si c'est pour rester assise seule quelque part autant aller se promener . N'ayant pas eu le temps de déjeuner le matin, elle décide de s'acheter quelque chose à la mie câline . Pour cela elle doit descendre la rue du fil . Une fois arrivée sur place elle fait la queue car il y a beaucoup de monde . Son pain au chocolat en main elle se promène dans la rue Nationale même si elle déteste passer dans les rues pleines de magasins. Voir toutes ces personnes dépendantes de la consommation qui s'affairent dans les magasins à la recherche de la dernière nouveauté la révolte. Vu l'heure tardive , elle doit se dépêcher pour pouvoir retourner à temps au lycée , elle fait donc demi-tour et remonte la rue du fil. Arrivée devant le lycée elle voit que beaucoup de lycéens rentrent mais qu'il en reste quand même à l’extérieur. Elle se dit qu'elle n'est donc pas si en retard que ça . Juste à ce moment là , la sonnerie retentit, c'est donc reparti pour une journée de cours qui s’annonce ordinaire, banale et ennuyante.

 

 

        En rentrant dans la maison de sa famille d'acceuil, Marla vit sur son lit une enveloppe à son nom. Il était écrit au dos de l'enveloppe que c'était son père qui lui avait envoyé. Elle hésita avant de l'ouvrir, que pouvait bien lui vouloir son père ? Il ne lui avait pas parlé depuis des mois. Elle décida de la jeter à la poubelle mais en la tenant dans ses mains elle senti qu'il y avait un objet à l'intérieur. Prise de curiosité elle renonça à la jeter et l'ouvrit. Elle y découvrit une lettre avec un ruban au bout duquel pendair un anneau.

 

 

Ma tendre enfant,

 

Je veux que tu saches que je suis conscient du fait que tu n'as pas eu une enfance facile comme les autres familles à cause de moi et que j'en suis terriblement désolé. Je donnerais tout ce que je possède pour pouvoir remonter le temps et savoir que t'abandonner serrai la plus grosse erreur de ma vie. J'ai fais preuve d'une grande lâcheté et d'un incroyable égoïsme, il me semblais plus facile de me détruire à petit feu que d'avoir le courage de prendre ma vie en main. J'espère que tu pourras me pardonné. J'ai joint à la lettre une bague que j'ai offert à ta mère le jour de ta naissance. Jé l'ai retrouvé il y a quelques jours en rangeant ses affaires. J'espère que tu l'as portera.

J'aimerai vraiment te revoir, tu me manques.

                                                                                            Ton père.

 

 

 

En lisant la lettre, Marla sentit de nombreuses larmes lui couler sur les joues. Son père en qui elle avait toujours vu un alcoolique semblait devenir quelqu'un de bien et de responsable. Elle ne se sentait cependant pas encore prête à lui pardonner toutes les années de solitudes et de souffrances qu'elle a enduré par sa faute. Elle fut quand même touché par ses efforts et enchanté d'avoir la bague de sa mère car elle ne possédait peu de choses d'elle mis à part un vieux tee-shirt qu'elle gardait précieusement sans son lit.Après avoir fait ses devoirs elle alla aider Madame Martin, la mère de la famille dans laquelle elle était, à préparer le dîner. Fatiguer de sa journée elle alla directement se coucher après avoir mangé. En se reveillant, Marla vit avec effarement que tous les tiroirs de sa chambre avait été retourné. Mais le pire de tout c'était que la bague de sa mère n'était plus autour de son doigt.Marla se sentais violé, quelqu'un était entré dans sa chambre, dans son intimité pour tout déranger et pour lui prendre ses affaires. Paniqué, elle décida d'aller prévenir Madame Martin, celle-ci appella la police.Marla préféra quand même aller au lycée pour se changer les idées. Dans son bus elle essaya de comprendre pourquoi une personne était entrer par effraction dans sa chambre pour lui prendre la bague de sa mère sans grand résultats.

 

Marla ne fut pas au bout de ses peines, durant la pause de la matinée elle reçu un appel de l'hôpital pour lui dire que sont père venait d'arrivé suite à un accident de la route. Elle quitta donc le lycée rapidement et alla en courant jusqu'à l'hôpital qui n'étais pas loin. Elle trouva sur place le médecin en charge de son père. Il lui expliqua qu'un automobiliste alcoolisé et sous l'emprise de drogue avait percuté la voiture de son père. Le médecin la rassura car il n'avait que sa jambe de touché.Il état au moment de sa venu en train de se reposer, elle ne pouvait donc pas le voir, ce qui de toute façon l'arrangeait bien. A la fin de la journée elle alla à sa bus mais reçu un nouvel appel de l'hôpital lui disant qu'il s'était passé quelque chose de grave. En arrivant à l'hôpital on lui expliqua que son père venait de se suicidé et qu'il avait laissé une lettre.

 

 

 

Marla,

 

Tu vas peut être me prendre pour un fou, et je le suis peut-être devenu, mais il faut que tu saches que depuis ta naissance il se passe des événement vraiment étranges. J'ai toujours cru que c'était toi qui avait provoqué tous ses événements, c'est d’ailleurs pour ça que je t'es abandonné mais depuis peu j'ai enfin compris que ce n’était pas toi mais la bague que j'ai offert à ta mère le jour de ta naissance. Madame Martin m'a appelé pour me dire que ma lettre avec la bague de ta mère t'avais fais vraiment plaisir mais ce n'est pas moi qui te les ai envoyé. Je ne pouvais pas laisser cette bague te faire du mal alors je suis venu cette nuit la chercher dans ta chambre. J'ai vu sur ton bureau la lettre, même si tout ce qui est écrit est vrai ce n'est pas moi qui l'es écrite. Cette bague a été enterrer avec ta mère, elle devrait donc se trouver dans la tombe mais je ne sais pas comment il y a un mois environ elle est apparu chez moi et depuis il ne se passe pas un jour sans que ma vie ne sois mise en danger. Ce fut exactement la même chose avec ta mère jusqu'au jour ou elle a eu cette accident mortelle 2 mois après ta naissance. Je suis désolé de m'être introduis comme ça dans ta chambre mais je n'avais pas le choix, je ne voulais pas que cette bague me prenne aussi ma fille. Après être parti de chez toi je voulais aller la mettre dans un endroit ou tu ne pourrais pas la trouver pour qu'il ne puisse rien t'arriver mais j'ai eu cette accident. Je viens donc de me débarrasser d'elle. J'ai passé ma vie à faire mes propres choix et je ne veux pas qu'une bague choisisse ma mort, considère mon suicide comme mon ultime expression de ma liberté. Je suis désolé de te laisser seul mais je n'es plus la force de continuer à me batte.

J’espère que tu me pardonneras.

                                                                                  Ton père qui t'aime

 

 

 

Anéanti, voilà comment se sentais Marla. La folie de son père était tellement intense qu'elle la conduit au suicide . Elle qui n'avait déjà pratiquement personne était désormais seul. Elle partit de l’hôpital en courant sans savoir ou aller. Elle courut pendant environ 10 minutes et finit par s’arrêter . Elle avait vraiment besoin de réconfort et se disait que Madame Martin serrait probablement chez elle. Elle regarda l'heure et vit qu'elle avait encore le temps de prendre le prochain bus. Mais en arrivant chez elle, elle vit dépité qu'il n'y avait personne. Elle courut dans sa chambre pour pleurer mais en y arrivant elle resta figer sur place, elle sentit son sang se glacer dans ses veines. Il y avait sur son bureau la bague de sa mère. Comment elle avait pu arriver la ? Son père venait de lui expliquer qu'il l'avait fait disparaître. Peut-être qu'il n'était pas si fou que sa . Et si tout ce qu'il avait dit était vrai ? Et si cette bague était à l'origine de tous ses malheurs ? Après tout, sa mère est bien mort 2 mois après l'avoir eu et son père lui a clairement dit qu'il avait été victime de nombreux accidents depuis qu'il la possédait. Toute cette histoire était vraiment invraisemblable, comment une simple bague aurait-elle pu causer autant de soucis ?

 

 

 

Dans le doute elle décida de ne pas la garder et alla à l’étant le plus poche pour la balancer. Elle rentra non rassuré chez elle et reçu un coup de téléphone de Madame Martin pour lui dire qu'elle sera seul durant la nuit. Elle alla se préparer à manger mais avant même que l'eau eu le temps de bouillir le gaz se coupa. Elle décida donc de se faire chauffer quelque chose au micro-onde mais celui-ci ce mis à faire des étincelles jusqu'au moment il y eu une coupure d’électricité général . Elle était terrifié. Était-ce ce genre d’événement dont fessait référence son père dans sa lettre ? Si c’était le cas comment ce fesait-il que la bague continuait d’agir alors qu'elle était au fond d'un étang. Elle monta dans sa chambre chercher son portable mais elle trébucha dans les escaliers et les dévala. Sa jambe devait être cassé car elle ne pouvait pas la poser par terre. Ayant récupéré son portable elle téléphona au pompiers qui arrivèrent une vingtaine de minutes plus tard. A l’hôpital les médecins lui confirmèrent que sa jambe était bien cassé. Ils lui conseillèrent de passer la nuit ici, ce qui l'arrangeait bien. Ils lui injectèrent un somnifère pour l'aider à dormir mais quelques minutes plus tard une infirmière affolé arriva en courant car une erreurs avait été commise. Un mauvais médicament lui avait été injecté, heureusement les infirmières s'en sont rendu compte car à forte dose il aurait pu être mortel. Marla commençait à perdre la tête tout ces événements étaient-ils un pur hasard ou étaient-ils du à la bague ? Déjà fragile psychologiquement elle ne se  voyait pas passer sa vie à se poser cette question. Elle décida de suivre le même chemin que son père et pris une dose mortelle de médicament pour mettre fin a ses jours et à ses doutes.

 

 


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27 janvier 2013 7 27 /01 /janvier /2013 23:53

 

           L'attente

 

Enfin la sonnerie retentit dans la classe. Il range ses affaires, note les devoirs et sors de la salle. Il traverse le couloir assez sombre pour se rendre dans le hall et sortir du lycée rejoindre ses amis. Mais c'est loin d'être facile tous les jours de traverser le couloir car tout le monde sort des salles de cours et se bouscule, on est tous serrés les uns contre les autres. Une fois dehors, il discute un peu avec ses amis avant de se rendre rue du Caire un peu plus loin pour prendre son car. Ils empruntèrent un petit chemin de sable qui longeait la ligne de chemin de fer. Sauf que lorsqu'il pleut, le chemin est plein de boue et de flaques d'eau sale ; et après on en a plein les chaussures.

Sur le trajet, ils parlèrent de ce qui s'est passé dans la journée, pendant les heures de cours. Les moments de fou rire pendant le temps libre, en récré ou entre 12h et 13h25 la pause de midi. Il parlèrent de ce qu'ils vont faire le lendemain, des devoirs et des cours a venir. Par exemple notre prof de français était un peut de mauvaise humeur aujourd'hui car certains élèves perturbaient le cours. Donc il nous a donné une rédaction d'une nouvelle à faire. C'est super pour moi qui n'aime pas faire de rédaction mais bon faut bien y passer.

Puis maintenant qu'il prit le chemin qui longeait le lycée et la voie de chemin de fer. Il passe sur un pont pour se rendre dans la rue ou il prenait son car. Mais son car est le dernier. Il va devoir descendre toute la rue du Caire pour arriver à l'endroit ou il s'arrête. En descendant la rue, il croisa plein de personnes qu'ils connaissaient : des personnes qui étaient au collège l'année passé, des personnes de ma classe et des amis de basket.

Une fois arrivé à l'endroit où le car va s'arrêter. L'attente commence, cela peu duré 2 ou 3 minutes comme 10 à 15 minutes. Alors avec ses amis ils parlèrent, ils se racontèrent leurs petites histoires. Avec les gars du basket ils échangèrent les scores et certains moments du match, en attendent le car. Ou des fois quand il est tout seul il met son casque et écoute ses musiques. Et après une attente plus ou moins longue le car arrive enfin. Il monte dans le car pour rentrer à la maison après une journée de cours assez fatiguante.

Une fois installer confortablement dans le car il prit son casque et le mit sur ses oreilles pour écouter de la bonne musique. Ce moments lui changea bien les idées. Après une petite attente de quelques minutes, à fin que toute les personnes qui prenaient ce car soit monté, le chauffeur prit la route. Pour que le trajet passe plus vite, il ferma les yeux et s'imagina en train de joue un match de basket avec son équipe. Le score était serré, son équipe menait de 4 points à la mi temps. Au retour du vestiaire, ils avaient accéléré le rythme du match, pour déstabiliser l'équipe adverse. Cela lui a permit de de remporté le match avec une dizaines de points d’écart. Soudain il sursauta et ouvris les yeux brusquement. Mais après avoir regardé attentivement autour de lui, il ne reconnaissait plus personnes dans le car, même pas le paysage. Après un instant de réflexion il compris qu'il était dans son monde imaginaires.

Les passagers du car étaient comme hypnotisé par quelque chose, on aurait dis qu'ils étaient possédé par un esprit. Ils avaient le visage figé, le regarde creux plonger sur l'horizon ; ils regardaient tous au même endroit. Une lumière rouge très intense, éblouissante. Soudain le chauffeur stoppa le véhicule, et nous ordonna de descendre immédiatement du car. Il était pas très alaise, il avait un peu peur de l’inconnu que renferme ce monde. Mais tellement curieux et impatient de partir à la découverte de ces terres. Subitement les passagers ainsi que le chauffeur commencèrent a marcher en direction de la lumière rouge comme s'ils étaient appelés par une voix mystérieuse. Il resta un peu en retrait du groupe, qui marchaient au pas cadencé, pour pouvoir observer les lieux. C'était un paysage comme nul par ailleurs. Les couleurs étaient inversé, l'herbe était bleu comme le ciel et changeais de couleur celons de temps qu'il faisait. Comme si le ciel était sous nos pied et a terre au dessus de nos têtes.

Après quelques minutes de marche, il se rendit compte que cette lumière rouge éblouissante venait d’un lampadaire défaillant. Par contre plus aucun traces du groupe des passagers. Mais sur ce lampadaire il y avait de inscription bizarre. Il essaya de déchiffré ce message mais c'était des symbole et une langue inconnu sur terre. En observant attentivement, il vit une flèche indiquant le pied du lampadaire. Effectivement, il y avait une trappe sous ces pied. Curieux, il descendit les quelques marches et arriva devant un long couloir sombre, avec des torches tout les 20 mètres environ, pour éclairer un peu le couloir. Il commença a entendre des voix dans ça tête lui disant: « Attention faut revenir a la réalité » ou « faut pas dormir, réveille-toi ». Il traversa le couloir, qui lui semblait devenir interminable. Il regarda derrière lui et vit une lueur rouge qui se rapprochais rapidement. L'entré couloir avait pris feu, il se mit à courir le plus vite possible pour échapper au feu qui commençait à le rattraper. Les voix étaient de plus en plus forte et présente dans sa tête.

Soudain il ne sentait plus ces jambes, ni ces bras, son corps tout entier s’effondra au sol. En un clin d’œil il c'est retrouvé assis sur une chaise devant un bureau en plein cour, le professeur était juste devant ça table et le regardait d'un air contrarié. Il compris tout de suite qu'ils n'avait jamais quitté le cour mais qu'il s'était endormir et venait de se réveiller. Il était en train de rêver !

 

 

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27 janvier 2013 7 27 /01 /janvier /2013 21:19

http://www.livegalerie.com/img/oeuvre/200903/web/70905.jpg?v=1237214931C’était un vendredi, Fabien terminait plus tôt et c’était le week end. Fabien était en seconde I au Lycée Joseph Loth. Il était impatient de sortir de ce cours qui devenait barbant ; c’est pourquoi il avait déjà rangé toutes ses affaires en prenant soin de ne laisser que son agenda pour noter les devoirs. La sonnerie retentit et le prof termina de donner les devoirs, Fabien se dépêcha de sortir et se dirigea vers le hall pour ensuite rejoindre Pierig, sur le pont. Pierig était en seconde G à Loth également.

 

Ils décidèrent d’aller chercher une viennoiserie à la « Mie Câline », ils descendirent alors la rue du Fil. Comme d’habitude ils prirent tous les deux un super cookie. Ensuite ils allèrent le manger sur la place du Martray, en même temps ils critiquaient tous les gens étrange qui passaient. Une fois fini, ils allèrent se promener dans la rue Nationale. Ils discutèrent de ce qu’ils allaient faire de leur week end. L’un disait ses devoirs, l’autre du vélo. Ils entrèrent chez Jules pour regarder les vêtements mais ils sortirent les mains vides.

 

Après ça il était l’heure pour les deux amis d’aller prendre leur car.  Ils se dirent au revoir et chacun partit dans sa direction. Pierig partit vers la Rue du Caire et Fabien sur la plaine. Il se rendit à son arrêt et se mit sous l’abris-bus car il commençait à pleuvoir. A l’intérieur il y avait un groupe de jeune qui écoutait de la musique avec des enceintes que l’un d’eux avait apportées.  Ces jeunes semblaient vulgaires… Fabien prit alors ces écouteurs pour écouter la musique et ne pas entendre les vulgarités de ses voisins. Enfin le bus arriva, il monta et un des ses amis toujours en retard, s’assis à coté de lui ; ils se mirent à discuter de leur journée et de leur plan pour le week end. 

 

Après une demie heure de route, Fabien arriva chez lui ; il descendit du bus. L’arrêt où il descendait se trouvait à coté d’une grande place, d’une bibliothèque et d’un cabinet de docteur. Habituellement il y avait du monde mais ce jour la, la place était déserte, sans aucun bruit. Fabien, étonné, rentra chez lui avec hâte pour regarder une série Tv qui allait commencé d’une minute à l’autre. Il habitait quelques rues plus loin, dans un quartier assez calme. Sa maison était normale, elle se situait au fond d’une grande impasse. D’habitude lorsqu’il rentrait, le chien de sa voisine lui hurlait dessus mais aujourd’hui il était absent, cela semblait bizarre mais Fabien ne s’inquiétât pas. Arrivé chez lui, il trouva la maison fermée alors qu’en principe sa mère devrait être là étant donné que sa voiture était dans la cour. Dans la maison, il n’y avait aucun bruit, il posa son sac, se servit à boire et pris un gâteau. Il alla ensuite dans le salon pour regarder la télé.

 

En arrivant dans le salon, il fut surpris ! Tout était sens dessus-dessous. Le canapé était déchiré, la télé complètement cassée et les murs remplis de graffiti. Il resta bouche B devant ce spectacle, il ne comprenait pas ce qu’il lui arrivait. Il décida d’appeler sa mère, son père, tout les numéros qu’il pouvait mais aucun ne répondait. Il commença alors paniqué, cela devenait bien trop louche. Tout d’un coup il entendit un bruit dans la cuisine ; il se précipita avec frayeur pour avoir le cœur nette sur histoire. C’était enfaite la télé de la cuisine qui s’était allumé toute seule, fabien se demanda comment était-ce possible ? Il se retourna, croyant qu’une autre personne se trouvait dans la maison mais il ne vit rien. Le plus effrayant était que sur l’écran était affiché sa propre photo et en gros caractère « MYSTERE ». Tellement effrayé, il se précipita sur le tiroir où se trouvaient les couteaux de cuisine. Il pris le plus tranchant au cas où il devrait se défendre. Il scruta la maison, et dans le couloir le grand miroir reflétait une silhouette de dos ; il se retourna mais il n’y avait personne. Plus il s’avançait plus la silhouette avançait et disparaissait. Toujours aussi inquiet, il monta en vitesse dans sa chambre à l’étage. Elle se trouvait en face de l’escalier et de chaque coté celles de ces sœurs. En entrant dans sa chambre, s’était l’anarchie, tout était renversé. Il pensait avoir à faire à un cambriolage mais tous ses objets de valeurs étaient encore présents. Il visita les autres pièces de l’étage et le même phénomène s’était produit. Mais dans le miroir de la salle de bain, la silhouette qu’il avait aperçue sur la glace en bas était également présente ; sans jamais pouvoir mettre un nom sur cette homme ou cette femme bien étrange.

 

Bien décidé a découvrir ce qu’il se passait, il sortit dans la rue, il alla dans le bourg mais bizarrement il n’y avait pas un chat. Même les commerces étaient déserts. Il traversa la ville, toujours avec son couteau. Mais lorsqu’il marchait il croyait être suivi de près mais quand il se retournait il n’y avait personne. Mais soudainement il vit son reflet dans une voiture de couleur noire ; et à coté de lui se trouvait sur ce reflet une personne qu’il ne connaissait pas. C’était un homme, plutôt grand et assez mince. Il était vêtu d’un pantalon noir et d’une chemise blanche qui était maculé de tâches vertes. Tellement effrayé de cette apparition et n’ayant trouvé personne il retourna chez lui.

 

Par crainte il pris soin de fermer la porte à clé. Sans comprendre ce qu’il se passait, il commença à ranger ce désordre. Tout d’un coup il sentit une sensation bizarre… et puis il se retrouva dans sa chambre entrain de dormir. Assommé,  il descendit dans la cuisine où s’est parents regardaient la télé. Il leur demanda des explications mais ils ne comprenaient pas ce que Fabien leur demandait. Il passait pour un fou ! Au fond de lui toute cette histoire était réelle, mais ces parents lui affirmaient qu’il avait fait un mauvais rêve. Il retourna se coucher avec beaucoup de doute...

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27 janvier 2013 7 27 /01 /janvier /2013 20:58

 

 

 

Arrivée dans le lycée, Nina allait en salle de permanence. Elle avait une heure de permanence. Mais elle n'était pas dans son état normal, elle se sentait pas bien depuis son coup de téléphone qu'elle a reçue. C'était des voix étranges qui disait des choses incompréhensible, mais elle pensait à des gens qui l'embêtait. Nina avait l'impression que quelque chose de bizarre allait se passer. Elle n'arrivait pas à se concentrer et à faire ses devoirs. Elle était dans la lune. Cinq minutes plus tard, Ambre et Clara arrivèrent toutes les deux en salle de permanence car leur prof était absent. Ambre et Clara étaient contente mais Nina ne disait rien, elle restait perplexe. Alors ses amies lui demandèrent ce qu'elle avait mais Nina ne répondait pas. Clara et Ambre commençaient à s'énerver lorsque Nina compris qu'elle était dans la lune, mais trop tard les filles changèrent de place. Nina envoyait un message pour s'excuser mais ses amies ne lui répondirent pas. Nina était très triste. C'est alors qu'elle commença à pleurer, tellement elle était triste.

Quand tout un coup, elle eu une espèce de vision. Nina avait vu sa mère dans cette espèce de vision, alors qu'elle s'était suicidée il y a huit mois. Toute l'histoire de sa mère remonta dans son esprit. C'est comme-ci elle était là, à côté d'elle. Nina arrêta de penser un instant, prit ses affaires et quitta le lycée en courant. Elle voulait courir loin, très loin, pour oublier ce qu'elle venait de voir. Elle courut pendant près d'une demi heure et elle s'arrêta sur un banc qu'elle trouva dans un square.

 Le square était vide, pourtant à cette heure de la journée habituellement il y avait toujours du passage. Nina s'assit tranquillement, sortit son portable et ses écouteurs et se mit à écouter de la musique très forte. Les minutes passaient et il faisait de plus en plus froid, le square était très vide et silencieux. Le vent se levait faisant virevolter les cheveux de Nina, il commençait même à pleuvoir. Il y avait comme une ambiance glauque dans ce parc. Elle en avait des frissons. Elle se décida à partir, mais à ce moment un brouillard épais se leva. Nina avait hâte de partir, cet endroit commençait à lui faire peur. On ne voyait pas à un mettre devant sois et quelques corbeaux se mettaient à croasser. C'est exactement le temps qu'il faisait lorsque sa mère s'est suicidée, enfin, c'est ce qu'elle a dit dans sa lettre qu'elle avait laissé à Nina et son père avant de se noyer dans un étang.
Nina quittait le square pour rejoindre la rue du Caire et prendre un car pour aller chez elle et tout raconter à son père. Mais la brume s’épaissit de plus en plus et elle eu une autre vision. Nina entendait comme un rire, mais un rire lointain et familier, comme celui de sa mère. Nina s'arrêta net. Elle se retourna d'un coup et en toute vitesse pour voir si sa mère était réellement là. Malheureusement elle avait beau se retourner pour voir si sa mère la suivait mais rien, personne. Il était de plus en plus difficile de voir quelque chose avec cette brume, elle n'arrivait pas à savoir si il y avait vraiment sa mère derrière, qui en faite ne serait pas morte et que son père lui aurait menti, vu qu'ils étaient en divorce. Nina pensait à toutes les choses possible et inimaginable. Elle se demandait vraiment si c'était vrai ou que sa vision lui jouait des tours.
Ce rire et cette impression de présence la suivit jusqu'à la rue du Caire. Elle arriva chez elle en courant alors, inquiet, son père sortit de la maison et à ce moment là, la brume avait totalement disparu. Il n'y avait plus rien mais Nina expliqua quand même tout à son père.
Depuis cette journée pour le moins étrange et effrayante, Nina resta chez elle, cloîtrer, de peur que sa recommence. Pourtant, son père lui avait bien dit que sa mère avait juste pas supporter leur séparation et s'était suicidée.
De leur côté, les amies de Nina commencèrent sérieusement à s'inquiéter car elles avaient plus aucune nouvelle d'elle depuis leur dispute. Ambre et Clara savaient très bien que quelque chose avait du se passer car c'était pas le genre de Nina de ne pas donner de nouvelle. Ses amies l'appela sans cesse mais elle ne décrochait pas. Deux semaines après cet évènement, le père de Nina voulu qu'elle retourne au lycée. Mais Nina avait peur, terriblement peur. D'autres visions de sa mère lui disant qu'elle était là, qu'elle était vivante lui apparu. Mais aussi d'autres coups de téléphone avec, toujours ces voix aussi intrigantes qui faisait peur à Nina.
Le lundi de la semaine qui suivit, Nina prit son courage à deux mains et prit le bus. Elle avait pas prévenu ses amies de son retour. Arrivée devant le lycée, elle hésita un instant à rentrer puis, reprit par la peur, elle rebroussât le chemin et repartie en courant. Au soir, à 19 heures, Nina était toujours pas rentrée chez elle. Elle ne répondait plus aux messages et aux appels de son père. Inquiet, il partit à sa recherche la boule au ventre. Il ne l'avait pas retrouvée. Alors il se rendit à tout vitesse au commissariat de police. Son père avait terriblement peur et il était très stressé et anxieux. Il se demandait qu'est ce qui lui prit dans sa tête pour ne pas rentrer à la maison. Il en avait pas dormis de la nuit.
Le lendemain matin, le portable de son père sonna. C'était la gendarmerie, il avait chercher Nina toute la nuit et ils ont retrouvé son corps à plus de vingt kilomètres du lycée. Nina avait fait comme sa mère. Elle avait encore eu des visions comme elle le dit dans le petit mot qu'elle avait laissé par terre. Elle ne savait plus où elle en était. Elle ne comprenait plus rien, elle était perdue entre toutes ses visions et ses coups de téléphone anonyme. Sa seule solution, dit-elle, était de se noyer dans cet étang, le même où sa mère s'était suicidée. Choqué, le père de Nina qui ne savait pas que ses visions de sa mère lui faisait du mal à ce point là, mit plusieurs années à s'en remettre. Pour les amies de Nina, le choc a été terrible. Elles ont fondu en larme des heures et des heures et ne comprenaient pas pourquoi elle avait fait ça. Elles s'en ont voulu de s'être embrouillés avec elle et de ne pas avoir vu qu'elle allait mal. Rongée par la douleur, les amies de Nina ont été voir son père qui leurs a tout avoué. Son père et ses amies ont eu beaucoup de mal à remonter la pente, ainsi que les proches à Nina.

Nina avait quinze ans, quarante-neuf jours et vingt heures lors de son enterrement.


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27 janvier 2013 7 27 /01 /janvier /2013 20:44

[Première partie : cadre réaliste]
Il avait eu 16 ans la semaine dernière. Il avait souvent ce regard vide et sans expression. Ses yeux marrons et ses cheveux noirs faisaient ressortir sa pâleur incomparable. Il était là, 17h20. Il attendait impatiemment mais pas trop, le retentissement de la sonnerie. Chaque vendredi soir il n'avait qu'une seule hâte, c'était de rentrer chez lui pour jouer à la console et se dire que « ça y est, c'est le week-end ! ». Il avait pour habitude de regarder sa montre toutes les cinq minutes. Il savait que son week-end n'allait pas être comme tous les autres, plein de repos et de réconfort. Il prévoyait toujours des samedis et des dimanches bien chargés. Ce jour là, il avait plutôt l'air méfiant que pressé. Il était seul au fond de la classe, à mordiller son stylo déjà bien abîmé. Il avait la tête en l'air, il rêvassait. Bien qu'il soitfasciné par la grande littérature française il ne portait plus aucune attention au cours, pourtant très intéressant de son formidable professeur. Il était ailleurs, il n'était pas bien concentré.

 

lycee-joseph-loth-copie-1

Au final, il ne vit pas le temps passer. La sonnerie très mélodieuse du lycée Joseph Loth de Pontivy retentit. Elle était très particulière, elle plaisait à beaucoup d'élèves pendant quelques semaines puis au final cette fameuse sonnerie devint comme toutes les autres, énervante d'un côté et cool de l'autre. Il sortit de sa classe, pas bien pressé. Dans les couloirs il se fit comme à chaque sortie de cours, écrasé, voir ratatiné par cette foule monstrueuse d'élèves ! Lui qui était si maigrichon tel un squelette, il n’eut pas d'autre choix que de se laisser pousser par le troupeau d'ados tous plus impatients les uns que les autres de retrouver leur bus. Il sortit du lycée avec le grand soulagement de pouvoir enfin respirer. Oui, c'est étouffant de rester assis pendant des heures entières...


   scolaire.jpg

                                                      
En sortant il croisa Eva, cette chouette voisine qu'il connaissait depuis maintenant 11 ans. Il adorait prendre le bus avec elle. Ils descendirent ensemble du lycée. En direction de la Plaine il croisa Lucas, son petit cousin de 10 ans. Il était en train de s’empiffrer de bonbons comme d'habitude. Il continua son chemin après lui en avoir réclamé quelques uns. Il passa à côté d'un abri bus rempli d'élèves. Il avait remarqué depuis plusieurs jours qu'une charmante jeune fille le regardait du coin de l’œil mais comme d'habitude, il continua sa route. Il était très timide. Il traversa la route et vit son bus fermer ses portes. Il courut après, tendit son bras le plus possible et toqua à la grande porte du bus ! Le chauffeur freina et ouvrit ses portes. Il rentra d'un air gêné et remercia cette jolie conductrice. Comme d'habitude il était à la limite de louper son bus. Il fila se mettre à côté d’Éva et repensa au fameux week-end qu'il allait passer...  


[Seconde partie : cadre fantastique]
Après les quinzes minutes de bus passées, il arriva chez lui. Il posa son sac dans l'angle de l'escalier et monta dans sa chambre. Il s'affala dans son canapé-lit, alluma sa console, prit sa manette dans ses mains et commença une nouvelle partie de son jeu de guerre favoris. Il adorait ce jeu depuis bientôt l'âge de 13 ans et bizarrement il ne s'en était jamais lassé contrairement à tous ses autres jeux auxquels il jouait encore plus jeune. Ça faisait maintenant environs dix minutes qu'il jouait, quand soudainement il se fit aspiré, transporté, envoyé dans sa propre partie. Il était là, à l'intérieur de son jeu. Le ciel était sombre, presque noir.seul-copie-2.png 
L'odeur de la fumé des voitures était irrespirable. Les bâtiments détruits se faisaient de plus en plus nombreux à vu d'
œil. Il prit peur et mit surtout du temps à réaliser qu'il était à présent l'un des soldats de cette guerre virtuelle. Les gens courraient dans tous les sens, il s'entre-tuaient tandis que lui restait figé bien qu'il savait, de l'autre côté de l'écran, que tuer était la seule façon de survivre et de passer de mission en mission. La scène se passait en plein centre de Paris. La Tour Eiffel était réduite de moitié pendant que, la tour Montparnasse était incendiée. 

Paris-en-guerre-copie-1.jpg
Les corps en sang grouillaient dans les rues. Certains arrondissements étaient méconnaissables. Il respira un grand coup, reprit son sang froid et... tua à son tour. Il y avait des ennemis à tous les coins, il n'arrêtait pas de courrir. Après plusieurs esquive il finit par se prendre une balle dans la poitrine. La douleur fit rude mais bref, il mourut avec rapidité et revit avec grande surprise. Il avait oublié que ce jeu était sans fin. Il reprit le jeu en se demandant comment il allait bien pouvoir sortir de cet affreux cauchemar, comment il allait faire pour retrouver son bon vieux canapé-lit, là où il était confortablement installé. Il pensait à sa famille, ses amis. images
C'était horrible, il regrettait tant d'avoir allumé sa console pour recommencer une énième partie. Il avait tellement peur qu'il ne jouait pas le jeu à fond, comme il le faisait si bien d'habitude. Il en venait même à se demander s'il ne faisait pas mieux de se laisser tuer, encore et encore. Il était épuisé de combattre et savait qu'après avoir été tué à cinq reprises la partie était finit et donc sa vie avec. C'est alors, pendant tant de réflexion qu'il entendit un bruit tellement fort, tellement assourdissant qu'il perdit connaissance et se réveilla en sursaut dans sa salle de cours de français. Il prit deux heures de colle pour s'être endormit en cours et avoir dérangé ses camarades en poussant des cris et en gigottant sur sa chaise. Il prit aussi une très sage décision, se coucher plus tôt et arrêter de jouer à ces jeux de guerre qui à présent le térrifiaient.

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27 janvier 2013 7 27 /01 /janvier /2013 20:16

DSC01576.JPG

  


Lors d’un sombre jour d’automne, Marion ayant terminé les cours, alla enfin fumer  sa cigarette tant attendue sur le pont. Elle l’avait à peine allumée, que son copain arriva.  Eddy comme d’habitude écouta attentivement tous les malheurs que Marion avait eu dans la journée. Peut-être que ses malheurs étaient amplifiés par ce temps gris et cette atmosphère pesante où l’on a l’impression d’être dans une sorte de cauchemar ou alors peut-être était-ce sa  note en anglais qu’elle avait reçue en début de matinée qui était sans doute l’une des pires de sa classe ou alors probablement la tonne de boulot qui l’attendait. Enfin, Eddy avait réussi à la remotiver un peu mais il devait se rendre à son entrainement de foot, et ne savait pas comment la laisser si vite dans son désarroi. Il finit par lui dire qu’il devait s’en aller  donc il l’embrassa et ils prirent deux chemins différents.
Marion emprunta le chemin des écoliers et rencontra Stéphanie juste avant l’avenue Napoléon 1er. Comme à leurs habitudes, elles descendirent ensemble vers la Place de la Plaine pour pouvoir se raconter les potins du jour.  A la plaine, Stéphanie aperçut son père et prit prendre congé de Marion. Elle décida de se rendre à son arrêt de car et retrouva ses amis du trajet habituel. Elle prit soin de bien leur dire bonjour vu qu’elle avait commencé à 9 heures et n’avait pu les voir de la journée. Elle s’assit à côté des autres et prit son portable pour se connecter sur les réseaux sociaux.  Quelques tweets plus tard, le car arriva.

 
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Après une bousculade, elle  réussit à entrer et s’installa comme à son habitude au fond.  Apparemment, ce n’était pas la seule de mauvaise humeur, le car était silencieux, rempli de personnes fatiguées qui n’avaient qu’une hâte : rentrer chez eux ! Le car prit la direction de Saint-Thuriau. Marion prit de nouveau son portable et laissa esquiver un petit sourire suite à un sms de Eddy : c’était un petit mot doux comme il lui en envoyait souvent. Elle répondit et mit ses écouteurs pour pouvoir écouter la musique qu’elle adorait soit "no surprise" de Radiohead

 , son groupe préféré. D’un ton nostalgique, elle annonça à ses amis que si jamais elle quittait ce monde, elle aimerait b ien que cette musique résonne à son enterrement ; d’un air suspect ils la regardèrent étonnés. Elle se replongea dans sa musique et s’assoupit. Quand subitement, Justine prononça plusieurs fois son prénom,  elle sursauta et lui demanda ce qui se passait. Le car était tout simplement arrivé à son arrêt. Elle la remercia donc et salua tout le monde. Elle descendit du car et se rendit chez elle. Elle fit un signe à son père et à son frère qui jouaient au tennis puis monta dans sa chambre tout en saluant sa mère qui était en pleine discussion au téléphone. Elle s’étala sur son lit, alluma la télé et découvrit un reportage sur une personne qu’elle connaissait très bien !....
 


Marion totalement ébahie se dit « mais c’est elle ?, c’est pas possible, pas elle…   ». Elle était bien la personne qui avait tout les traits communs à son amie Laura avec son teint pâle, les cheveux noirs et des yeux bleus perçants ... Mais elle fût tout autant choquée qu’il y a bien deux ans lorsque Marion habitait encore dans le sud. Laura avait disparu suite à une étrange situation qui justement devenait un peu plus claire  !! Les deux amies avaient décidé de se balader dans les rues tard le soir et quand soudain une vielle dame apparut de nul part pour leur parler. Elle leur demanda si elle ne voulait pas l’accompagner jusqu’à sa maison car elle ne voyait pas grande chose dans cette sombre soirée.  Les deux filles acceptèrent de l’aider. La dame les emmena dans la forêt et s’arrêta devant une maison plutôt mal entretenue. Elle les invita à manger quelque chose.
Le repas fut délicieux, mais tout à coup la table s’ondula et les assiettes devenaient troubles. Elle les avait drogué. Quelques heures plus tard, elles se réveillèrent ligotées aux poignets et aux pieds.

 Comment s ‘échapper ? Elles regardèrent tout au tour d’elles, les meubles étaient vétustes et anciens. On entendait le bruit d’une vielle horloge. Tout d’un coup Laura vit un couteau sur un rebord de table. « Attend Marion, je vais essayer de l’attraper ». Elle se tortilla jusqu’à la table et parvint à faire tomber le couteau vers Marion, après plusieurs essais. Marion rapidement réussi à couper ses liens aux pieds et coupa les liens de Laura qui à son tour coupa les liens aux poignets de Marion.Elles se levèrent et regardèrent par la fenêtre si la voie était libre. Elles étaient dans une forêt , où étaient-elle ? Soudain un bruit se fit entendre au loin. « Vite il faut fuir, prenons la porte derrière dit Marion ». En traversant la pièce, elles virent des objets étranges, des peaux et des pattes de loup, elles tremblèrent tellement la pièce étaient froide et horrible. À peine franchit la porte qu'elles furent surprises par la dame qui les attendait juste devant et c’est là qu’elle commença à réciter une formule , puis ajouta vous avez voulue m’échapper allez y, mais vous rigolerez moins dans 730 jours toi la petite Laura c’est toi qui à essayé en premier de t’échapper donc tu dans 729 jours tu subiras ma vengeance …  

Puis Marion s’était réveillée dans son lit, et depuis ce jour elle n’en avait parlé à personne et hésita sur le faite que se soit un rêve aujourd’hui. Car en effet, dans ce reportage qui annonçait la mort de son amie Laura suite à une  terrible tragédie. Elle avait été retrouvée dans une forêt bizarrement la même que son rêve.  Elle fut terrifiée, est-ce vrai ? Sa fin était donc bien prévue pour demain ? Pouvait-elle y échapper ?

Ce fut les seuls recueils que nous avons pu sortir du journal intime de Marion, aujourd’hui décédée.



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27 janvier 2013 7 27 /01 /janvier /2013 20:16

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          Depuis la rentrée de septembre, Jade était lycéenne en seconde au Lycée Joseph Loth de Pontivy. D'une taille plutôt grande elle paraissait plus que son âge avec ses longs cheveux blonds tombant sur ses épaules. De nature discrète, elle n'aimait pas la solitude et avait peur d'être seule. Jade Rennesson aimait par-dessus tous ses amis et sa famille. Elle avait la belle vie quoi !

 

       Comme tous les matins, elle arrivait à la Rue du Caire à 7 heures 30 avec un petit mal de ventre, stressée par ce qui l'attendait durant la journée. Dans le car elle s'asseyait à côté de son amie, Mélissa. Toutes les deux se connaissaient depuis leur plus jeune enfance. Lorsqu'elles descendaient du car, il faisait encore sombre et la Rue du Caire comme à son habitude était blindée. Il y avait du monde partout. Un groupe de plusieurs jeunes se mettaient en plein milieu du passage, un autre fumait, un autre riait. Pourquoi rigolent-ils ceux-là ? Jade se le demandait bien. Un couple s'étreignait, sans doute pour se réchauffer en ce frais matin d'automne.

 

        Jade quitta Mélissa pour aller retrouver son amie, Chloé à leur point de rendez-vous. Elle traversa donc la route avec prudence car il y avait toujours des cars qui circulaient et on risquait de se faire renverser à tout moment. Il roule vite celui-là ! Il voit bien qu'il y a des lycéens partout ! Elle marchait et rencontra sur sa route une fille qui était dans sa classe l'année dernière. Elles discutèrent et finirent le chemin ensemble. A 7 heures 45, Jade attendait Chloé. Une fille la regardait en passant. Pourquoi elle me regarde comme ça ? Chloé arriva et elles allèrent toutes les deux au lycée pour une journée de cours bien remplie.

 

 

 

      (2ème partie) Elles arrivèrent à leur première heure de cours de la matinée, M. Wittacker, leur prof d'anglais avait toujours son air sévère, il était grand et effrayait un peu les élèves avec son regard noir. Elles s'installèrent à leur place respective pour commencer le cours. Tout à coup, Jade vit une silhouette à sa droite. C'est bizarre, on dirait une silhouette humaine ! Jade se pencha vers Chloé et lui chuchota à l'oreille de regarder à côté d'elle. M.Wittacker leur demanda de se taire, mais Jade s'obstina. Chloé ne vit rien. Mais Jade était quasiment sûre d'avoir vu cette silhouette si humaine, si vivante à ses côtés. Elle décida alors de ce contrer sur le cours, déjà qu'elle n'était pas très bonne en anglais, elle n'allait pas se disperser et se laisser déconcentrer par quelque chose qui ne peut être réelle. C'est sans doute un effet avec la lumière, ça ne peut être que ça de toute façon ! La matinée se termina, Chloé et Jade rejoignirent leurs deux autres amies pour le déjeuner. Dans la file pour passer au self, qui est toujours pleine à craquer et pleine de bousculades, Jade revit cette ombre, elle était noire, et avait la forme d'un homme, on aurait dit l'ombre qu'une personne fait lorsque qu'il y a du soleil, mais là c'était impossible, ça ne pouvait être ça !  En plus, cette ombre la fixait. Deviendrait-elle folle ? Jade se sentit hypnotisée, prise de vertige. Mais Chloé et ses autres amies ne virent rien. Aurait-elle un problème ? Puis, cette silhouette, cette ombre disparut, plus rien ! C'est probablement le garçon d'à côté qui produisait cette ombre. Durant le reste de la journée, Jade ne vit rien, maintenant elle était certaine que ce n'était que son imagination qui lui jouait des tours.

 

     Quelques jours passèrent, toujours la routine. Un jeudi soir, Jade fut pris d'une angoisse soudaine. Elle était dans sa chambre, à faire ses devoirs pour le lendemain quand elle vit encore une fois de plus cette silouette tant redoutée sur son lit. Cette fois ce fut clair, elle n'était pas folle et avait l'esprit clair, elle était sûre de sa présence, elle la voyait. Jade cria, ses parents montèrent à toute vitesse mais la chose avait disparue. Elle expliqua à ses parents ce qui lui arrivait depuis une semaine environ, ceux-ci lui proposèrent d'allez voir un psychologue. Jade était persuadée de ne pas être folle, mais il fallait le leur prouver. Le samedi suivant, elle ne l'avait pas revue, mais ne l'oublia pas pour autant. Son psychologue l'écouta et lui donna des comprimés contre le stress. Soi-disant c'était le stress qui lui donnait ces visions ! En rentrant chez elle, elle était là, devant elle, la silhouette. Jade avait peur maintenant, elle avait peur de cette chose qui la hantait. C'était effroyable, angoissant. Elle n'arrivait plus à respirer tellement la peur la prenait. Cette nuit là, comme les nombreuses nuits qui suivirent, Jade ne dormit plus.

 

    Des mois passèrent et la silhouette réapparaissait plus souvent encore et Jade était toujours prise de crise dans ces moments là. Elle fut placée dans un hôpital psychiatrique mais la silhouette la suivait même dans cet endroit et ne la laissait plus tranquille.

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